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Patrimoine
Saint-Germain-Laprade s'urbanise constamment en offrant à ses habitants de plus en plus d'infrastructures et d'aménagements urbains. Le dynamisme de la commune vient de cette urbanisation liée à la préservation de son histoire. Plusieurs châteaux et sites historiques parsèment le territoire de Saint-Germain-Laprade et enrichissent son patrimoine.
> Liste des sites inscrits ou classés à Saint-Germain-Laprade
- Le château du Bourg : portail d'entrée, façades et toitures, cuisine avec sa cheminée au sous-sol, grand salon avec son décor, salle à manger avec son décor de toiles au premier étage.
- Les vestiges de l'église de l'ancienne abbaye de Doue y compris la dalle d'enfeu portant sur une épitaphe et encastrée dans l'abside, et la chapelle Sainte-Catherine, ainsi que le sol de l'ancienne emprise de l'abbaye.
- L'ancienne abbaye de Doue : parties suivantes des bâtiments conventuels : aile est, y compris la salle capitulaire et la pièce aux lambris peints ; aile sud, y compris le grand salon lambrissé et la chambre à alcôve dite de l'Abbé.
- L'église du Bourg.
- Le château du Villard : façades et toitures de l'ensemble des bâtiments (à l'exclusion de la façade du XIXème siècle) ainsi que le mur de clôture avec son portail.
> La Transcévenole
En 1904, la compagnie P.L.M. (Compagnie des chemins de Fer Paris Lyon Marseille) présenta un projet de ligne ferroviaire qui devait relier Le Puy à Neigles-Prades (aujourd’hui Lalevade d’Ardèche). La déclaration d’utilité publique de la ligne interviendra en 1906. Dès 1911, les travaux purent débuter. Ils continuèrent jusqu’en 1935 et le tronçon Le Puy-Le Monastier était prêt à recevoir les traverses et les rails. Ils ne furent jamais posés et, en 1941, la décision de déclassement de la ligne fut prise.
Venant de Brives-Charensac, la Transcévenole traverse la Loire sur le viaduc qui domine les dépôts pétroliers. C’est après avoir traversé le fleuve que la ligne pénètre sur le territoire de Saint-Germain. Elle passe près du monument commémoratif de Peyrard, puis traverse la Gagne sur le viaduc en granit de Peyrard composé de 15 arches de 17 m. La ligne, une fois sur la rive gauche de la Gagne se situe dans la commune de Coubon. Elle va y rester jusqu’à 200 m de Priouret où elle retrouve Saint-Germain-Laprade. La voie conduit au tunnel du Roure. Celui-ci mesure 190 m et sa sortie Sud marque la limite avec la commune de Lantriac.
Que faire d’une ligne de chemin de fer sans rails ? Diverses utilisations ont vu le jour. Il est fréquent de rencontrer sur la voie des marcheurs, des "vététistes", des fans de 4x4 ou d’enduro. Ces utilisations sont logiques au vu du tracé disponible. Plus étonnantes sont les utilisations du tunnel du Roure. Une fois déclassé, cet ouvrage est devenu la propriété définitive du ministère des affaires culturelles "pour les besoins du service de protection des œuvres d’art". Cette affectation n’a pas empêché l’utilisation de ce tunnel comme cave d’affinement de fromage (stockage de 190 t) avant que l’entrepôt de la Fromagerie du Velay ne soit construit à Blavozy. Une autre utilisation plus surprenante fut l’organisation d’une rave party sous les voûtes un dimanche de novembre 2002.
> Le château de Saint-Germain-Laprade
A neuf kilomètres du Puy, sur le plateau de Saint-Germain-Laprade, se confondant avec le clocher, se dresse l’antique manoir des barons de Saint-Germain-Laprade. Malgré les rudes assauts qu’il eut à subir, ce château a gardé une certaine allure qu’il doit aux tours aussi hautes que massives dont il est flanqué. L’une d’elles, côté ouest, abrite un escalier en pierres qui dessert tous les étages. Le parc est un bel enclos où la nature se pare de massifs et d’allées reposantes.
Ce fut dans les prés de Saint-Germain, en 993, que les Consuls d’Aquitaine taillèrent en pièces les bandes qui avaient usurpé les biens de leur oncle Guy d’Anjou, évêque du Puy.
En 1164, le Pape Alexandre III accorda à l’évêque du Puy la juridiction sur l’église et le lieu de Saint Germain.
En 1219, Bertrand de Cayres, voulant se venger de l’excommunication dont il avait été frappé pour les dommages qu’il avait causés aux biens de l’évêque, assassina dans le village de Saint Germain Robert de Mehun, l’un des successeurs de Guy d’Anjou. En 1272, Pierre, seigneur de Saint Germain, subit les violences de Mathieu de Blavozy, d’un fils de Bertrand de Rochebaron, Chanoines de l’Abbaye de Doue, de Guillaume de Brives, curé de Saint Germain, et de Bertrand et Béraud de Gorce qui avaient envahi le village, et y avaient tué quatre ou cinq habitants. Le pré dit « des fourches », non loin du village, était jadis le théâtre des exécutions.
A cette famille de Saint-Germain appartenait un grand personnage ecclésiastique, Guy de Saint-Germain, évêque du Mont Cassin qui substitua, en 1341, aux héritiers qui portaient son nom, Guy de Glavenas et Artoge de Lardeyrol. Au XIVe siècle, les De Glavenas, seigneurs de Lardeyrol, l’étaient également de Saint Germain. Leurs tombeaux se trouvaient dans l’église de l’Abbaye de Doue qui faisait partie de la paroisse de Saint Germain.
Dès le début du XVIe siècle, la famille de Poinsac apparaît à Saint-Germain : en 1519, François de la Tour, Vicomte de Turenne, Baron de Bouzols, cède à Jean de Poinsac la seigneurie de Saint Germain Laprade et tous les droits qui y étaient attachés. En 1579, le château de Saint Germain est vendu à Gabriel de Morgues, Bailli de Solignac.
La grande figure de cette famille fut Mathieu de Morgues (1582 – 1670) Baron de Saint-Germain dit « l’Abbé de Morgues ». Il consacra son âge mûr à combattre le tout puissant Richelieu, et dans ce duel mémorable, il déploya de belles qualités d’écrivain.
Comme beaucoup d’autres châteaux du Velay, celui de Saint-Germain eut à souffrir des ravages des guerres civiles du XVIe siècle. Claude de Morgues, son seigneur, qui, obéissant tout d’abord à l’injonction de De Chastes, gouverneur du Velay pour le Roi, avait mis son manoir sous l’obéissance royale, se ravisa ensuite et embrassa la cause de la Ligue. Le 11 février 1590, il vit son château brûlé par les royalistes profitant de la faiblesse de la garnison. Usant de représailles, les Ligueurs marchèrent sur la Coste qu’ils incendièrent.
Depuis 1863, le château de Saint-Germain-Laprade appartient aux héritiers de Joséphine de Morgues de Saint-Germain, comtesse de Clérico.
> L'église du Bourg
L’église de Saint-Germain-Laprade a sans doute été élevée à l’emplacement d’un lieu de culte romain. Cet édifice a connu de nombreuses transformations au cours des siècles. Dater la construction de l’édifice primitif sur les ruines du temple romain s’avère impossible mais à l’évidence, il fallut attendre la christianisation en Gaule. A cette époque, le sanctuaire chrétien ne devait occuper que l’emplacement du chœur actuel.
L’église du Bourg subit de nombreuses modifications avant d’apparaître telle qu’elle est actuellement. La nef se vit ajouter des chapelles latérales gothiques à la fin du XVe siècle suite aux donations des seigneurs de Saint Germain et les abbés de Doue. Au XVIIIe siècle, le prieur André Maistre fit agrandir l’arc triomphal en réduisant les deux pans de mur latéraux qui supportaient cet arc. Deux chapelles latérales basses furent ajoutées dans ce même siècle. Au XIXe siècle, plusieurs modifications eurent lieu : construction d’une tribune pour pénitents et ouverture d’un oculus sur la façade ouest. Au XXe siècle, l’église subit à nouveau des modifications ou restauration. Le service des Monuments historiques fit enlever le toit du clocher, suréleva ce dernier et s’occupa de la réparation des croisées. On procéda à la réfection des parties hautes du clocher, à la restauration de la façade, à la consolidation des voûtes de la nef. La sacristie fut réduite et les Bâtiments de France mirent en valeur le chevet rectangulaire et la coupole. Vers 1970 les cloches furent électrifiées remplaçant la corde tirée par un officiant. Grâce à un don et sous le sacerdoce du curé Januel, une imposante tribune prit place au fond de la nef. Enfin, en 2000, divers travaux améliorèrent l’accès au clocher.
A l’époque révolutionnaire, il existait deux cloches. La première, une des plus anciennes du pays fut fondue le 7 août 1593 et portait le nom de Maria. Les archives paroissiales indiquent que lors de la Révolution, la seconde fut démontée par "les habitants de Saint-Germain pour, dit-on, la soustraire à la rapacité des révolutionnaires de Rosières. Ils l’enterrèrent dans un champ du Mas, mais, avertis par des confrères en impiété, les citoyens de Rosières vinrent l’extraire et l’emportèrent dans leur village". Ne possédant dès lors qu’une seule cloche, le Conseil de fabrique considéra ce fait comme indigne pour Saint Germain et approuva la proposition d’achat d’une deuxième cloche lors de la séance du 2 juillet 1882. Ainsi, la deuxième cloche de 840kg fut fondue à Lyon en 1883 et est actuellement utilisée en donnant son "Fa" tous les samedis soir, les dimanches et jours d’enterrement.
Sources : "Saint-Germain-Laprade Entre Gagne et Sumène" de Jacques Arnaud et Paul Charpentier (Editions du Roure) - Conférence "Mardi Culture" du 26 mars 2002 par Jean Richaud.
> L'Abbaye de Doue
Admirablement située sur le versant Sud d’une montagne isolée, dominant le Bassin de Brives Charensac, à une dizaine de kilomètres à l’est du Puy, l’Abbaye de Doue avait été fondée loin de toute habitation. Il faut contourner la montagne de Doue, traverser la forêt pour avoir brusquement au détour du chemin la révélation de l’église et des anciens bâtiments. La beauté du site, le merveilleux panorama que l’on découvre, et l’éclat coloré du chevet de l’abbatiale composent une vision qui ne manque pas de grandeur.
L’Abbaye de Doue aurait été fondée en 1138 par Raymond et Guillaume de Saint Quentin, seigneurs d’un village voisin. Ceux-ci y établirent une petite communauté de chanoines soumis à l’autorité de l’évêque du Puy.
Les chanoines de Prémontrés en prirent officiellement possession le 15 juillet 1167.
Fondée et dotée pour 12 chanoines, l’Abbaye royale de Doue bénéficiait de privilèges honorifiques qui faisaient de son abbé un des personnages considérables de l’Eglise du Puy. Sa fortune foncière, limitée à l’origine aux bois et aux prairies de la montagne de Doue, se trouva rapidement accrue par des donations consenties par les évêques du Puy et les seigneurs des environs. Ces ressources permirent aux Prémontrés de construire une nouvelle église aux dimensions imposantes.
Au début du XIIIe siècles, époque où furent certainement construits le Cloître et les bâtiments conventuels, l’abbatiat d’Armand Dussoyre (1215 – 1233) marque une phase d’incontestable prospérité. Ce fut alors que l’Abbatiale romane reçut la dépouille de Robert de Mehun, évêque du Puy, assassiné en 1219 au village de Saint Germain Laprade. Considéré comme un martyr, les chanoines de Doue placèrent ses restes dans un sarcophage, et lui élevèrent un tombeau à droite du maître-autel. C’est à cette époque, et jusqu’au début du XVIIe siècle que l’Abbaye de Doue devint le lieu de sépulture des familles de Canillac puis de Glavenas, seigneurs de Lardeyrol. Ceux-ci y fondèrent la Chapelle Sainte Catherine.
Avec la fin du XVIe siècle allait commencer pour le monastère le temps des épreuves, et une période particulièrement sombre de son histoire. Huguenots, Ligueurs, abbés intrus ou usurpateurs allaient s’employer, pendant plus d’un siècle à dévaster l’Abbaye et à la dépouiller de ses revenus.
Son dernier abbé régulier, Christophe Allard (1560 – 1590) parvint à réparer les dommages et à rétablir la vie conventuelle.
Mais en 1589, il commit l’imprudence de se prononcer trop tôt en faveur d’Henri IV, et d’ouvrir les portes de l’Abbaye aux troupes du gouverneur du Velay, François de Clermond de Chaste qui y plaça une garnison. Les Ligueurs du Puy, furieux de la défection des Prémontrés, montèrent en 1589 une expédition punitive contre l’Abbaye ; ils s’emparèrent, brûlèrent les bâtiments, abattirent les voûtes de l’église, emportèrent les cloches, et emmenèrent les chanoines du Puy. L’Abbaye dévastée, fut abandonnée pendant plusieurs années.
Il fallut attendre les années 1635 – 1640 pour qu’un nouvel abbé régulier, Martin II Barry entreprenne de relever les ruines de l’église, de reconstruire le monastère et de racheter les biens de l’abbaye tombés entre les mains des Laïcs après 40 ans d’abandon.
A peine relevée de ses ruines, l’Abbaye connut de nouvelles épreuves. Ce fut d’abord en 1656 l’incendie des bâtiments conventuels. Ce sinistre permit à l’abbé commendataire, Henri de Senecterre, de dépouiller l’église de son mobilier, de piller et de vendre les pierres de taille de la nef, de chasser les religieux et de mettre en coupe réglée les bois et domaines du monastère. Condamnée en 1688 par le Conseil du Roi à « rétablir l’Abbaye dans ses ornements, entretien des religieux, chapelles et lieux réguliers », il réussit par tous les moyens à éluder l’exécution de cet arrêt jusqu’en 1677, date de sa mort. Après son décès, les religieux de Doue intentèrent un procès en dommages-intérêts à l’Abbaye de Saint Chaffre du Monastier dont il avait conservé l’abbatiat et les revenus. Les abbés réguliers qui lui succédèrent, Sylvestre de Morgues de Saint Germain (1679 – 1714), Robert de Villiers de la Berchère (1714 – 1726), Pierre François Irailh (1726 – 1729) et Jean-Louis Genestet (1729 – 1741) réparèrent les bâtiments monastiques, rétablirent la vie régulière et remeublèrent l’église.
La situation matérielle devint si précaire dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, qu’en 1770, l’Abbaye de Doue était supprimée par le chapitre général des Prémontrés, et ses revenus unis à la mense épiscopale du Puy. En 1782, le mobilier de l’Abbatiale, cloches comprises était vendu. Confisqués, comme biens nationaux par la Révolution, l’Abbaye de Doue, le domaine et les bois qui l’entouraient furent vendus le 9 avril 1791 à Mathieu Bertrand, négociant du Puy.
C’est ainsi que furent sauvés les vestiges encore debout de l’abbatiale, tandis que les bâtiments conventuels, à demi ruinés, qui entouraient le cloître devaient subir au XIXe siècle de profondes transformations.
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> Le château du Villard
Situé à 6 km au sud-est du Bourg au fond d’un vallon à proximité de la Gagne, le château du Villard fit partie des possessions de la famille de Goudet du XIe au XVe siècle. A la mort de Lambert de Goudet puis de son fils, le château et la seigneurie du Villard furent récupérés par Hugues de La Tour Saint-Vidal, époux de Catherine de Goudet. Jusqu’au XVIe siècle, le château du Villard fut plusieurs fois donné en apanage aux cadets ou en douaire aux veuves de la famille La Tour Saint-Vidal. A la mort d’Antoine II de Saint-Vidal (1591), Le Villard fut attribué à son frère Henri, seigneur de Montvert en 1595. Ses descendants gardèrent le château en leur possession jusqu’à la Révolution. Le domaine fut saisi sur la famille de Montaigu de Beaume et vendu comme bien d’émigré pendant la Révolution. Plusieurs propriétaires se succédèrent durant le XIXe siècle jusqu’à ce que le docteur Claude Auguste Reynaud achète le château vers 1860. Ses descendants y résident encore.
En savoir plus
> Le chemin de Saint Régis
Né en 1597, Jean-François Régis entra chez les Jésuites puis se voua à la prédication, surtout en Velay. Son action, considérable dans cette région, entraîna sa canonisation en 1737. Le 23 décembre 1640, il partit du Puy, passa par Brives, gagna Saint-Germain, Marnhac, Saint-Julien pour atteindre Lalouvesc le soir du 24 décembre. Cette marche exténuante de 70 kilomètres dans le froid et la neige entraîna sa mort le 31 décembre. En souvenir un sentier de randonnée a été créé par Christian Bertholet, responsable du CDRP (1990) sous le nom de sentier de saint Régis : il entre dans la commune en dessous de Malescot, traverse le bourg, le Boussillon, Marnhac suivant l’itinéraire emprunté par Jean-François Régis. Depuis 2000, ce sentier est devenu officiellement GR 430. Il amène aussi beaucoup de pèlerins en partance pour Saint-Jacques-de-Compostelle.
Source : "Saint-Germain-Laprade entre Gagne et Sumène" de Jacques Arnaud et Paul Charpentier (Editions du Roure).
> Le chemin de Saint-Jacques de Compostelle (GR65)
La Via Gebennensis (ou route de Genève) est l'un des chemins du pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle, qui part de Genève (point d'aboutissement des chemins venant d'Allemagne et de Suisse) et va jusqu'au Puy-en-Velay en passant par Saint-Germain-Laprade. À partir du Puy, le chemin s'appelle Via Podiensis. De Genève à Pampelune, les deux chemins (via Gebennensis et via Podiensis) sont balisés en tant que sentier de grande randonnée GR 65.
La Commune de Saint-Germain-Laprade est un passage obligé du Chemin de Saint-Jacques de Compostelle (GR65) pour tous les pèlerins qui viennent d'Allemagne et de Suisse.
De nos jours, beaucoup considèrent que le chemin de Compostelle et la voie du Puy-en-Velay ne font qu'un. Parmi les quatre grandes voies historiques, elle est aujourd'hui la plus fréquentée. Les candidats, au départ du Puy-en-Velay, sont aujourd'hui des milliers chaque année.
Le nombre toujours croissant de pèlerins et marcheurs peut être estimés par les petites pierres déposées sur la croix de "Laprade".
Source : centre culturel.
> La croix de "Laprade"
La Croix de "Laprade" passage obligé de tous les randonneurs et pèlerins sur notre commune comme le montre la tradition « du caillou posé sur la croix ».
Il est avéré qu'actuellement, si le chiffre des départs est ramené sur une année se sont environ 60 Pèlerins qui chaque jour, prennent le départ du chemin de Compostelle au Puy-en-Velay. Certains ont démarré le périple de beaucoup plus loin encore et certains passent sur la commune de Saint-Germain-Laprade pour rejoindre le chef-lieu du Département.
Source : centre culturel.
> Servissac
Château Servissac
> Nos maisons d'assemblée
Assemblées de : Fay, Marnhac, Servissac
Assmeblées de : Noustoulet, Rachassac, Le Villard
> Four
Fours de : Noustoulet, Servissac, Rachassac
> Fontaines
Fontaines de : Marnhac, Rachassac, Servissac
> Séquoia
Séquoia de La Chabanne